RDV jeudi 11h30-13h00 le jeudi 18 avril

Résumé :

Des CAE organisées en réseau national, implantées localement et en régions, hébergent juridiquement, économiquement et socialement des travailleurs de l’art et de la culture. Ensemble, ils mutualisent leurs moyens, compétences et offres de services pour répondre aux besoins de recrutement d’emplois durables et de qualité recherchés par les Directions et services des affaires culturelles sur leurs territoires.

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Avantages des coopératives d’activité et d’emploi (CAE) Culture pour les artistes :

• un statut d’entrepreneur salarié
• des services mutualisés
• un accompagnement individualisé
• de la coopération
• un hébergement juridique
• un cadre collectif…

Avantages des coopératives d’activité et d’emploi (CAE) Culture pour les collectivités :

• un complément par rapport à l’usage intermittent
• de l’aide à la pérennisation des emplois des artistes (les artistes ont des CDI)
• une collectif multidisciplinaire (Arts visuels, Métiers d’Art, Arts Appliqués, Spectacle vivant, Audiovisuel et numérique, Ecriture et édition)
• des compétences complémentaires
• des coopératives d’activité et d’emploi (CAE) dans la plupart des territoires métropolitains…

Les CAE collaborent déjà avec des collectivités :

• Exemple : La CAE OZ qui est située à Angers collabore avec la ville des Ponts-de-Cé (agglomération d’Angers) dans le cadre de l’élaboration participative de leur projet culturel de territoire. La ville des Ponts-de-Cé a offert une résidence à l’équipe qui a remporté le hackathon d’Oz en 2023. Elle suit aujourd’hui le projet de 2ème journée du festival Longue-vue lancé en 2022 par la coopérative.

• Autre exemple : Depuis plusieurs années, la ville de St Nazaire accompagne l’auteur Joël Kerouanton, membre de la CAE OZ, au développement de son projet artistique « Ecrire dans la ville ». La ville soutient l’artiste et la coopérative.

Témoignage de Muriel Guyon qui fait de l’ingénierie de la création (direction de projets artistiques et culturels de territoires) à la CAE Azelar : « Merci à la FNADAC pour son intérêt pour les CAE culturelles. Elles permettent de travailler sous des formes qui répondent aux questions auxquelles que le « monde d’avant » peinait à répondre (à mon avis) : passer du lien de subordination aux liens de collaboration, tester un projet sans créer une entreprise, porter des projets d’utilité sociale et être soutenus dans cette entreprise, partager et mutualiser des outils de travail avec ses pairs et des collègues d’autres secteurs… »

Témoignage de Cécile Klein (Scénographe – Plasticienne – Designeuse) : « De mon point de vue, collaborer avec des CAE comme Azelar, c’est lutter contre la précarité des métiers artistiques, assumer la volonté d’une société basée sur la collaboration, l’échange et la reconnaissance de chaque individualité et l’opportunité de profiter de compétences et profils mutualisés. »

Témoignage d’Isabelle Vali (Videographer, Set Designer, Visual artist) : « Je dirais que collaborer avec Azelar ou d’autres CAE de ce type, c’est encourager la pérennisation et la stabilisation de métiers nécessaires mais aux statuts fragiles de manière globale. C’est soutenir des artistes et acteurs culturels investis qui ont fait le choix de l’indépendance, au sein d’un collectif qui défend des valeurs d’économie sociale et solidaire, afin de repenser la société de demain. C’est également un gage de sécurité pour les collaborateurs et clients à plusieurs niveaux : respect d’exigences et délais de rendus de travail, ainsi que des tarifs de prestations conformes au marché, car la personne en CAE s’inscrit dans un cadre pensé collectivement, en perpétuelle réflexion et adaptation, et s’engage à respecter des valeurs communes à la coopérative. »

Témoignage d’Yoan De Macedo (Développement web / Défenseur de la sobriété / Eco-conception) : « La liberté d’entreprendre sans les contraintes administratives et des gens sympas avec qui échanger 🙂 On a chacun nos raisons mais ce sont les principales me concernant. »

Témoignage de Tatiana Morin (Accompagnatrice de projets culturels. Membre de Consortium Coopérative) : « Notre coopérative a 8 ans. Pendant 6 ans, un collectif d’artistes et artisans d’art ont animé la boutique Plage 76 à Poitiers. Depuis janvier, il existe un bureau d’accompagnement culture qui pourrait déployer des propositions à destination des collectivités locales dans le futur. Restons en contact et merci pour la mise en lumière des CAE. »

Les intervenant.e.s :

Anne-Laure Guidicelli

irectrice de la CAE Azelar  à Lyon

Animation :

Axel Mattern

DAC de la Ville de Malzéville,

une des chevilles ouvrières de l’ ADACGE Association des DAC du GRAND EST,

membre du bureau de la FNADAC)

Voici l’enregistrement du webinaire :

Voici en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous le document de présentation utilisé par Stéphane et Anne-Laure lors du webinaire :

RDV le mercredi 27 mars 2024 de 11h30 à 13h00,

Présentation :

Notre webinaire du mois de mars en compagnie de l’équipe du GIP Cafés Cultures !

Alors que la première phase du Printemps de la ruralité est déjà bien avancée, il paraît très intéressant de connaître le Gip Cafés Cultures.

Ce Gip gère deux fonds d’aide à l’emploi artistique destinés :

• aux cafés, hôtels et restaurants,
• aux autres employeurs occasionnels du spectacle vivant, tels que les comités des fêtes, les associations du champ social, les petits commerces, les fermes, les communes de moins de 3500 habitants, etc.

Le GIP Cafés Cultures a plusieurs avantages :

• il favorise le lien entre les politiques culturelles portées par les collectivités et le monde du commerce.
• il favorise en cela une cohésion et un croisement des publics et qu’il garantit une juste rétribution des artistes locaux.
• il contribue à encourager et pérenniser l’emploi des artistes et techniciens du spectacle vivant dans ces espaces de vie essentiels à la dynamique culturelle de nos territoires.

De nombreuses collectivités ont adhéré au dispositif. Vous pouvez consulter la liste ici : https://gipcafescultures.fr/membres

Le webinaire est intitulé « Les cafés cultures : comment soutenir le spectacle vivant dans les lieux de proximité ? »

Intervenant.e.s :

Invité.e.s :

Nicolas Cardou

Directeur général Culture et arts dans la ville / Directeur général adjoint Ville de Nantes chez Nantes Métropole,

membre de l’association des DAC des Grandes Villes et Agglomérations,

VP FNADAC en charge du lien avec le monde des entreprises

Animation :

Axel Mattern

DAC de la Ville de Malzéville,

une des chevilles ouvrières de l’ ADACGE Association des DAC du GRAND EST,

membre du bureau de la FNADAC)

Voici l’enregistrement du webinaire :

RDV jeudi 11h30-13h00 le jeudi 30 mai

Présentation :

Le spectacle itinérant, et notamment sous chapiteau, est un outil majeur d’irrigation des territoires. Comment et avec qui travailler ? Quels équipements techniques, quelles précautions sécuritaires sont nécessaires ? Cet atelier donne les clés pour repérer et accueillir un spectacle itinérant sur son territoire. Animé par ARTCENA, Centre national des arts de la rue, du cirque et du théâtre.

Intervenant.e.e :

Louis Logodin, responsable du service Soutiens aux professionnels

et

Zélie Micholet, chargée des soutiens aux arts de la rue et du cirque

Nous vous donnerons davantage d’informations très prochainement !

Présentation :

La Loi LCAP du 7 juillet 2016 dispose que l’État procède au classement des conservatoires, définit un schéma national d’orientation pédagogique (SOP) dans le domaine de l’enseignement public spécialisé de la musique, de la danse et de l’art dramatique, coordonne, au plan régional ou interrégional, l’organisation des examens du diplôme national (DN) et délivre ledit diplôme. Une nouvelle version du SOP a été publiée en septembre dernier et l’arrêté de classement du 15 décembre 2006 a subi quelques ajustements rendus nécessaires.
Ce webinaire vise à faire le point sur ces textes en les mettant en perspective des évolutions souhaitées, sinon attendues, de l’offre proposée par les établissements d’enseignement artistique, qu’ils soient ou non classés par l’État.

Intervenant :

Nicolas Stroesser, directeur de conservatoire à rayonnement régional. Formateur et créateur de ressources sur les enjeux pédagogiques et juridiques des établissements d’enseignement artistiques.

Voici l’enregistrement du webinaire :

Présentation :

La culture, parce qu’elle joue un rôle central dans la construction de nos imaginaires collectifs, porte une responsabilité importante en matière de déconstruction des stéréotypes de genre. C’est fort de ce constat que le ministère de la Culture œuvre activement, concrètement, depuis la publication de sa première feuille de route égalité en 2018, à la lutte contre les violences et harcèlements sexistes et sexuels et à la diffusion d’une culture de l’égalité.

Cette démarche est ambitieuse ; elle s’adresse à tous les secteurs culturels et artistiques et présente déjà des résultats significatifs, mais elle ne saurait être exhaustive dès lors qu’elle n’est pas déclinée à toutes les échelles. Ainsi, plus que jamais, le ministère souhaite poursuivre le travail entamé avec les collectivités locales de sorte que soient diffusées sur l’ensemble du territoire les mesures prises en matière d’égalité dans la culture et de prévention des violences.

Intervenant.e.s :

Nabila Djellit, responsable de domaine action sociale chez AUDIENS

Pour animer ce webinaire, nous aurons un duo inédit composé de :

Axel Mattern (DAC de la Ville de Malzéville, une des chevilles ouvrières de l’ ADACGE Association des DAC du GRAND EST, membre du bureau de la FNADAC)

Date : JEUDI 26 OCTOBRE – 11h30-13h00

Le site dont il est question dans la présentation d’Audiens : https://www.violences-sexuelles-culture.org/fr

Vous pouvez retrouver le PowerPoint utilisé lors du webinaire en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.

Voici l’enregistrement du webinaire :

Comme promis lors du webinaire par Agnès Saal, voici les plans de lutte contre les violences et harcèlements sexistes et sexuels (VHSS)  produits par le Centre national de la musique (CNM) et par la Direction générale de la création artistique (DGCA), qui s’appliquent respectivement au secteur musical et au champ de la création, spectacle vivant et arts visuels.

Voici aussi le document d’engagement au respect du Protocole de lutte contre les violences sexistes et sexuelles CNM.

Vous pouvez accéder à ces documents en cliquant sur les images.

Depuis 2002, l’association ACTA VISTA, développe des chantiers d’insertion et de formations professionnelles aux métiers du bâti ancien, dédiés aux personnes les plus éloignées de l’emploi.

ACTA VISTA prend pour support la restauration du patrimoine bâti historique, vecteur de fierté et symbole d’une (re)construction collective.

Leur approche :

• CONFIER la restauration du patrimoine aux personnes en situation de précarité
• RESTAURER le patrimoine dans les règles de l’art et le respect de l’environnement 
• DISPENSER une formation qualifiante, basée sur la transmission par le geste
• VALORISER & FAIRE VIVRE le patrimoine

Voici une présentation vidéo d’Acta Vista :

Voici une présentation vidéo du webinaire :

Ci-dessous quelques photos des projets d’Acta Vista :

Vous pouvez vous regarder l’enregistrement du webinaire ci-dessous :

Vous pouvez consulter le PPT de présentation en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.

Voici ses coordonnées de Joséphine Lepicard pour poursuivre les échanges : josephine.lepicard@actavista.fr

Sa maison-mère, la Société coopérative et participative (Scop) Upcoop, est devenue entreprise à mission en janvier 2023 et s’est dotée d’une raison d’être « Coopérer durablement pour un pouvoir d’achat à utilité sociale et locale », inscrite dans ses statuts.

Depuis 2022, Up est partenaire de la FNADAC, avec laquelle il collabore pour favoriser l’émergence de dispositifs en faveur de l’accès à la culture et à la lecture, par l’intermédiaire de ses solutions de paiement (vidéo de présentation et ci-dessous).

Nous aborderons également le rôle des ADAC dans les territoires pour favoriser le lien entre politiques publiques et acteurs économiques au service des populations et de leurs accès à l’offre culturelle publique.

Rémi Castell, Directeur Partenariats et Grands Comptes, Secteur Public et Programmes Sociaux

et

Joan Lo Mauro, Directeur des ventes, Politiques Publiques et Sociales

Le Portail du patrimoine.

Facilitateur de projets patrimoine

Le Portail du patrimoine est un site d’information gratuit au service de la réussite des projets de restauration et de valorisation du patrimoine.

Réalisé grâce au soutien du ministère de la Culture et du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, le Portail du patrimoine a pour objectif d’accompagner les porteurs de projet et de répondre à des problématiques qui peuvent se poser pour la réussite de leur projet de restauration : qui solliciter pour m’aider dans mon projet ? Quelles sont les aides financières existantes ? Comment valoriser mon site ? L’approche se veut pédagogique, accessible et inspirante grâce à des dossiers thématiques complets, des vidéos témoignages et des guides pratiques.

Le Portail est enrichi de nouveaux contenus régulièrement. Actuellement orienté vers l’aide aux collectivités, il sera ouvert fin 2023 à tous les propriétaires de patrimoine.

Nous vous proposions de participer à un webinaire de présentation de ce nouvel outil et d’échanger avec les représentants de la fondation du Patrimoine. Une opportunité de mieux connaître et comprendre les ressources à mobiliser pour réussir vos projets dans vos territoires.

Pour animer cet atelier et présenter le Portail du Patrimoine, nous avons eu la chance d’accueillir :

Alexandre Giuglaris, Directeur général adjoint de la Fondation du patrimoine et personnalité qualifiée membre du conseil d’administration de la FNADAC

Voici l’enregistrement de notre webinaire :

C’était une belle occasion de mieux comprendre les tenants et aboutissants de ce dispositif en deux phases.

La première phase (candidature jusqu’au 31 mars) permet d’identifier les projets les plus pertinents qui pourront ainsi bénéficier d’une aide pour financer l’ingénierie nécessaire pour la structuration d’un pôle territorial ICC et pouvoir déposer un projet en seconde phase (printemps 2024)

Intervenant.e.s :

Jean Arnaud, Chargé de mission PIA « Culture, patrimoine et numérique », Banque des Territoires

L’AMI « Pôles territoriaux d’industries culturelles et créatives » est ici.

Pour commencer la démarche, il faut aller ici.

Courriel de contact : pia4cultureCDC@caissedesdepots.fr

Voici une vidéo de présentation du webinaire :

Sur une proposition de la médiatrice, les commanditaires ont pris connaissance du travail de Daniel Dewar et Grégory Gicquel (lauréats du Prix Marcel Duchamp 2012). La démarche de ces artistes, notamment l’attention qu’ils portent aux matériaux et la manière de les travailler dans une pratique « faite main », a résonné avec les attentes exprimées dans le cahier des charges : le désir d’une œuvre qui invite à la contemplation, qui fait appel à l’expérience tactile, qui exprime une émotion, qui suscite l’envie de se retrouver, qui évoque la fierté et inspire l’imaginaire.

L’œuvre proposée par Daniel Dewar et Grégory Gicquel est une sculpture réalisée dans un bloc de granite de 2m30 de haut et de 8m de circonférence. Il s’agit d’une pierre erratique – c’est-à-dire qu’elle ne provient pas d’une extraction en carrière mais qu’elle s’est formée naturellement avec le déplacement d’un glacier. La pierre a été arrondie et érodée par le temps et les sujets sculptés par les artistes s’adaptent à ces formes. La sculpture est en ronde-bosse, présentée à même le sol sur le mail Missak et Mélinée Manouchian, au niveau de l’école Jean Lurçat – Elsa Triolet. Elle est constituée d’un banc circulaire taillé dans le bloc, accompagné de plusieurs motifs dont un bras musclé de grande proportion ainsi que plusieurs lièvres paraissant autant se poursuivre que se confondre les uns aux autres. La sculpture propose au public une relation directe, l’incitant à interagir avec elle, s’y asseoir, la toucher, la caresser. Dans une idée de rapport à la nature, l’ambition de l’œuvre est de produire une image pastorale actuelle, cet ailleurs indéfinissable qui naît en milieu urbain. La juxtaposition des sujets par confrontation et répétition, quant à elle, permet de produire une image contemporaine et complexe, à l’instar d’un monde saturé d’images et de représentations.

Le placement d’une telle pierre naturelle et massive dans un contexte urbanisé offre au public la possibilité de se rapprocher d’un élément primaire et rappelle la distance grandissante qui s’installe aujourd’hui entre l’être humain et les lieux de production de la majorité des objets ou des matériaux dont il a accès au quotidien.

L’œuvre est inaugurée le samedi 23 novembre 2019 à 12 h

Rocher en Granite avec Bras, Lièvres et Banc, 2016-2019

Lieu : Mail Missak et Mélinée Manouchain, Pont du Routoir, Guyancourt, Ile de France

Artiste : Daniel Dewar et Grégory Gicquel

Commanditaires : Un groupe de 10 habitants, accompagné de la Ville de Guyancourt

Partenaires : Ville de Guyancourt, Eiffage Aménagement, Fondation de France

Médiation-production : Mari Linnman-3CA, médiatrice agréée de la Société des Nouveaux commanditaires Arts et Sciences

Les Nouveaux commanditaires est un programme d’action qui permet à des citoyens confrontés à des enjeux de société ou de développement d’un territoire, d’associer des artistes contemporains à leurs préoccupations par le biais d’une commande.

Son mode opératoire repose sur une conjonction nouvelle entre trois acteurs privilégiés : un artiste, un groupe de citoyens commanditaires et un médiateur culturel, accompagnés des partenaires publics et privés réunis autour du projet.

Initiée par la Fondation de France en 1990, et soutenue par le ministère de la Culture dans le cadre de plusieurs projets, l’action Nouveaux commanditaires est désormais portée par la structure associative Société des Nouveaux commanditaires en Art & Sciences créée par les médiateurs-producteurs en 2020. 

En 2022, l’association a signé une convention tripartite avec le ministère de la Culture et la Fondation de France pour établir un nouveau partenariat en vue d’une structuration durable de son action à l’échelle nationale.

Le Powerpoint peut être trouvé en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.

Le mécénat est souvent présenté comme une solution au tarissement de certaines ressources des structures culturelles. Dans quelle mesure peut-il être appliqué aux collectivités territoriales ? Quels sont les moyens à développer pour la réussite d’une politique de mécénat ? Deux experts des stratégies de levée de fonds échangeront autour de leurs pratiques et de leurs approches.

Voici un compte-rendu du webinaire que vous pouvez consulter en cliquant ici.

30 minutes d’interventions

• Introduction – FNADAC
• Introduction – Sébastien Cavalier président du Pass Culture

• Mehdi Idir – DRAC IDF :  re-contextualise  l’histoire de l’EAC jusqu’au Pass Culture en insistant sur le rôle majeur des collectivités et l’outil d’émancipation qu’est le Pass

• Marianne Calveyrac – DAAC Académie de Versailles. témoignage : création d’ADAGE, contractualisation avec les territoires autour d’un cahier des charges partagé et accompagnement de l’expérimentation du Pass culture scolaire (pour la part collective –) accompagnement des démarches de projets ; pour la part individuelle –) mobilisation de nos élèves ambassadeurs culture).

• Juliette Marchandise-Franquet – Pass Culture : état des lieux du dispositif – extension du dispositif aux – de 18 ans, fonctionnement des échanges avec les chargés de territoire

• Marine Gauvin : Pass Culture -fonctionnement du volet collectif – présentation et prise en main

suivi de 30 minutes de questions / réponses.

A lire aussi : la note « L’Observatoire Erasmus » + n°12 sur les apports de la mobilité Erasmus+ pour les apprenants, les personnels et les organismes à consulter en cliquant ici.

Vous trouverez une présentation de cette recherche-action en cliquant ici.

Un podcast a été créé début 2023 à consulter en cliquant ici.

La Fédération Art Vivants & Départements est devenue Culture•Co (Réseau national pour la culture dans les départements).

Vous trouverez la synthèse des discussions en cliquant ici.

• Association des bibliothécaires de France,
• Association des bibliothécaires départementaux,
• Association des directrices et directeurs des bibliothèques municipales et groupements intercommunaux des villes de France,
• Bibliopat,
• Association nationale des conseillers livre et lecture.

Alice Bernard, présidente de l’ABF, est venu nous en parler.

D’où l’invitation de Rozenn Merrien, directrice enfance jeunesse à Saint Denis (93) et présidente de l’ANDEV pour y voir plus clair.